Le football, espace de luttes ?
Le football est parfois méprisé par des gens de gauche car il serait un divertissement pour les travailleurs, au sens premier à savoir une activité qui les empêche de prendre conscience de leurs intérêts de classe. Il est vrai aussi que le capital s’est emparé de façon prodigieuse de ce sport populaire pour accumuler des profits, en user de façon diplomatique (le Qatar à travers le Paris Saint-Germain) ou faire de la propagande personnelle (Silvio Berlusconi, président de l’AC Milan jusqu’en 2017). Et pourtant…